Alimentation, un lien direct avec la zen attitude

Catégorie : Santé

Alimentation et zen attitude

La zen attitude – cette philosophie de vie du courant bouddhique qui devrait nous permettre de conserver notre calme en toutes circonstances – est intimement liée à notre façon de nous alimenter. Comment se recentrer et atteindre l’harmonie à la fois mentale, émotionnelle et physique si nous consommons mal ? Le point sur quelques règles de base en matière d’alimentation zen.

 

Les aliments à éviter pour conserver la zen attitude

Si, comme moi, vous êtes convaincu de la nécessité d’un corps en bonne santé, alors vous éviterez les aliments entraînant des répercussions avérées sur l’humeur et le comportement (fatigue, irritabilité, manque de concentration, problèmes de sommeil, stress, tristesse…) ainsi qu’une altération de l’écosystème intestinal. Les conséquences à plus ou moins long terme sur la santé du sucre blanc, des mauvaises graisses et du gluten font froid dans le dos : cancer, diabète, hypertension, maladies cardio-vasculaires, obésité…
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 Le sucre

Il est préconisé par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES), dans le cadre d’une alimentation équilibrée, de ne pas dépasser la dose journalière de 50 g de sucres ajoutés par jour (ou sucres libres).

Si notre organisme a besoin de glucose pour fonctionner correctement, le sucre blanc raffiné (saccharose) ajouté à la plupart des aliments industriels est un sucre nocif dépourvu des minéraux et vitamines indispensables, qui s’apparente à une véritable drogue. Hautement addictif, il provoque toutes sortes de dysfonctionnements et maladies.

Pour sucrer, modérément, utiliser du sucre complet biologique.
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 Les graisses saturées

Les plats cuisinés, la charcuterie, les produits industriels, les pâtisseries, certaines viandes… contiennent des matières grasses saturées ayant un lien direct avec l’élévation du mauvais cholestérol.

Il convient donc d’utiliser des graisses insaturées (huile de colza, maïs, noisettes, olives, soja, poissons…) et d’éviter au maximum les aliments industriels.

 

pain sans gluten
pain sans gluten

 

Le gluten

Les farines blanches raffinées, à l’index glycémique élevé, induisent les mêmes conséquences néfastes sur le corps que le sucre blanc. Il faut les remplacer par des farines complètes biologiques.

Et quant au blé d’aujourd’hui, rendu toxique par les traitements industriels et les modifications génétiques, il n’est plus assimilable par l’organisme. Composé à 85 % d’amidon (glucose), addictif et à l’indice IG élevé, le pain blanc contient de nouvelles protéines (prolamines, gluténines…) ne pouvant être digérées et passant, pour certaines, directement dans le flux sanguin. Les conséquences : hypersensibilité au gluten, intolérance et graves problèmes de santé (maladies auto-immunes, cancers…).

Méconnue, l’hypersensibilité au gluten est en constante augmentation dans la population avec des symptômes divers : allergies, dépression, diarrhées, douleurs articulaires, saignement de nez…

Pour conserver un intestin en bonne santé, que vous soyez hypersensible ou non, limitez la farine de blé (et orge, kamut, épeautre, petit épeautre) au profit de farines sans gluten écologiques : châtaigne, chanvre, coco, quinoa, maïs, manioc, lentilles, lupin, millet, pois chiches, riz, sarrasin, soja, souchet…

Vous l’aurez remarqué, manger sans gluten, c’est en plus diversifier son alimentation et ses goûts, alors pourquoi s’en priver ?

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